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Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc
Né le 27 janvier 1814 à Paris et mort le 17 septembre 1879 à Lausanne.
Architecte français autodidacte, connu du grand public pour ses restaurations de constructions médiévales, édifices religieux et châteaux : la Basilique Vézelay, la cathédrale Notre-Dame, la Cité de Carcassonne, le château de Pierrefonds, le château de Roquetaillade, la cathédrale de Lausanne (anciennement appelée cathédrale Notre-Dame).
Architecte, restaurateur, dessinateur, décorateur, théoricien, pédagogue, écrivain. Doté d’un esprit prodigieux, fin, subtil, d’une intelligence hors norme.
En tant qu’autodidacte, il sut imposer son art, son style, ses idées bien que critiqué, car il n’avait pas fait les Beaux-Arts. Dès l’enfance, le caractère se dessine et par certains écrits se dévoile le caractère bien trempé et déterminé allant jusqu’au bout de ses convictions.
Né le 27 janvier 1814 à Paris et mort le 17 septembre 1879 à Lausanne.
Architecte Français autodidacte du XIXème siècle connu du grand public pour ses restaurations de constructions médiévales, édifices religieux et châteaux.
La Basilique Vézelay, la cathédrale Notre-Dame, la Cité de Carcassonne, le château de Pierrefonds, le château de Roquetaillade, la cathédrale de Lausanne (anciennement appelée cathédrale Notre-Dame).
Architecte, restaurateur, dessinateur, décorateur, théoricien, pédagogue, écrivain.
Doté d’un esprit prodigieux, fin, subtil, d’une intelligence hors norme.
En tant qu’autodidacte, il sut imposer son art, son style, ses idées bien que critiqué, car il n’avait pas fait les Beaux-Arts.
Dès l’enfance, le caractère se dessine et par certains écrits se dévoile le caractère bien trempé et déterminé allant jusqu’au bout de ses convictions.
‘’J’aime mon art pour lui et non pour ce que je pourrais en retirer. Aussi voilà ce que je me dis : si j’ai du talent, l’école ne m’en donnera pas loin de là car... c'est un torrent qui vous entraîne, qui vous enveloppe qui vous inonde.
On va, on cherche bien à lutter un peu d’abord contre son facile courant, mais on finit toujours par y céder.
Alors adieu le talent, on devient ce que les autres veulent vous faire. L’école est un moule à architecte.’’
[Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc]
On reconnait le caractère bien affirmé et trempé d’Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc.
‘‘J'aime mon art pour lui et non pour ce que je pourrais en retirer. Aussi voilà ce que je me dis : si j’ai du talent, l’école ne m’en donnera pas loin de là car... c'est un torrent qui vous entraîne, qui vous enveloppe qui vous inonde.
On va, on cherche bien à lutter un peu d’abord contre son facile courant, mais on finit toujours par y céder. Alors adieu le talent, on devient ce que les autres veulent vous faire. L’école est un moule à architecte.’’
[Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc]
On reconnait le caractère bien affirmé et trempé d’Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc. Il écrit de nombreux ouvrages dont le ‘‘Dictionnaire raisonné de l’architecture Française du XIᵉ au XVIᵉ siècle’’.
Au XIIIᵉ siècle, une flèche surmontait l’intersection entre la nef et le transept de Notre-Dame. Démontée au XVIIIe siècle, car menaçante, elle est remplacée au XIXᵉ siècle lors des grands travaux de restauration.
Eugène Viollet-le-Duc conçoit une nouvelle flèche, inspirée de celle qu’il avait dessinée pour la cathédrale d’Orléans, et confie sa réalisation à Auguste Bellu et aux ateliers Monduit.
Inaugurée en 1859, la flèche culmine à 96 mètres et est flanquée des statues en cuivre des douze apôtres et des quatre évangélistes. Viollet-le-Duc se représente lui-même sous les traits de saint Thomas, contemplant le sommet de son œuvre. En 1935, un coq contenant des reliques y est installé ; il sera retrouvé dans les décombres après l’incendie du 15 avril 2019.
Geneviève Viollet-le-Duc
Julie Marcombes reprend la mission de sa grand-mère, Geneviève Viollet-le-Duc — commandeur des Arts et des Lettres et arrière-petite-fille d’Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc — et perpétue ainsi le souvenir de l’architecte.
Geneviève Viollet-le-Duc a œuvré à la conservation de sa mémoire, notamment en préservant le récit de ses voyages, qu’elle a transmis oralement à sa petite-fille. Ces récits sont aujourd’hui à revivre en exclusivité, à travers une série audio qui vous transporte sur les traces de l’architecte.
Sur cette photo, elle est assise devant la cathédrale de Lausanne, sous la statue érigée en hommage à son aïeul.
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